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Pascrena : l’efficacité passe par la concertation

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Pascrena  l’efficacité passe par la concertationLe développement est placé au premier plan des priorités de la société civile. Pour ce faire,  un travail inclusif  devient un impératif pour ces organisations.

En ce sens, un séminaire a été ouvert ce mercredi 23 mars à Lomé, en vue de contribuer au renforcement de la concertation entre l’État et les acteurs de la société civile. Il s’agit à terme, de poser les bases fortes des politiques publiques pour un développement durable au Togo.

Le présent séminaire qui regroupe tous les acteurs de la société civile au Togo examinera en premier lieu, les sémantiques du concept de la société civile, ensuite, identifiera les attentes de l’État et vice-versa.

Cette rencontre est à l’initiative du Projet d’appui à la société civile et à la réconciliation nationale (Pascrena) avec le soutien de l’Union européenne.

Une question demeurait, comment faciliter la capitalisation des rapports des ONG et associations de développement au Togo, si l’État à qui incombe le premier rôle ne dispose pas assez d’informations ?

Cette inquiétude qui a pu être constatée après une étude conduite récemment par le Pascrena qui a montré que seulement 24% des OSC  enquêtées envoient des rapports d’activité aux autorités en charge de la vie associative.

Améliorer le cadre de concertation de façon efficace entre l’état et les OSC pour un développement participatif et inclusif  est donc important, à en croire Okamba Kodjo Kassignin, Chef projet Pascrena.

‘On ne peut pas parler du développement d’un pays si nous travaillons en parallèle. Il faut se concerter’, a-t-il exhorté.

Les travaux dudit séminaire prendront fin le 25 mars et accoucheront des recommandations pour  alimenter les futures formes d’appui à la société civile.